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vague

  • NOUVELLES VAGUES [REACTUALISE]

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    Photographier la mer et ses humeurs, c’est devenu la passion de Philippe Dannic au point de devenir son obsession. Patient, l'artiste est désormais prêt à publier un livre dédié à son sujet de prédilection grâce à une exposition. Rapides explications. 

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  • CHEVAUCHÉES IODÉES

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    Inside the monster, c’est un sujet magazine TV diffusé sur Polynésie Première racontant de folles «chevauchées» de surfers sur les vagues terrifiantes de Teahupo’o. À la clef, des images époustouflantes.

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    C’est à Teahupo’o en Polynésie française, un «spot» fort prisé des meilleurs surfeurs du monde entier mais également de curieux de plus en plus nombreux, que le spectacle est grandiose.

    Suite à deux grosses houles survenues au printemps dernier, les surfeurs ont pu s'élancer sur de véritables murs d'eau, pouvant atteindre plus de 6 mètres, avant de terminer leurs folles chevauchées iodées au creux de tubes aussi impressionnants que terrifiants.

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    Reporter-caméraman à Polynésie Première, Gilles Hucault est un homme d’images désormais reconnu dans le monde du surf. Même si l’intéressé ne le claironne pas, il a participé à la renommée mondiale de la vague de Teahupo’o.

    « Il faut beaucoup d’attention, tu te brûles un peu les yeux à force de regarder la vague, c’est un peu usant, surtout quand tu passes 10 heures sur l’eau. C’est fatiguant pour le dos, ce n’est pas un endroit facile mais c’est une place que l’on a pas envie de lâcher car beaucoup aimeraient être à notre place, c’est unique d’être là aux premières loges. » (Gilles Hucault)

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    L’homme est un «expert». Il connaît sur le bout des doigts la vague et les acteurs qui s’y produisent. « Il ne s’agit pas de coller un œil sur un viseur de camera et d’appuyer sur un bouton mais de comprendre exactement ce qui se passe et de réussir à l’anticiper, de flairer la météo et surtout de mettre son cœur dans ce que l’on fait à l’instar d’un certain Tim Mc Kenna, qui, comme lui, vit une grande passion pour la vague avec humilité, pugnacité et abnégation » précise Gilles Hucault.

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    Son histoire avec Teahupo’o remonte à 1996 lors d’une session avec Kelly Slater, Tom Carrol et  des photographes chevronnés. « Le virus m’est venu avec Vetea David qui m’a dit un beau jour : "Hey, qu’est ce que tu fous, tu veux pas faire des images de surf ? " Il m’a emmené à Mara’a qui est une droite superbe, quand je suis arrivé le soir et que j’ai mis la cassette dans la machine…Magique...Depuis ce jour là je n’ai pas arrêté ».

    Et les afficionados en redemandent. Diffusé sur la télé locale, le magazine TV réalisé par Gilles Hucault créé le buzzsur la toile. Un évident coup de cœur pour qui aime la mer, la glisse, l'adrénaline et les belles images...


    › EN SAVOIR PLUS
    Inside the monster. Sujet magazine TV Polynésie Première. Durée : 26 min. Réalisé par Gilles Hucault et Julien Marckt. Images de Gilles Hucault et Tim Pruvost. Images sous-marines de Jack MacCoy.

     

  • APRES LE TSUNAMI...

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    BANDAACEH_13.jpg

    ©  Stéphane DUGAST

    BANDA ACEH (Indonésie)
    4°15 Nord / 97°30 Est

    En bordure de l'océan indien, la Malaisie, la Thaïlande, le Myanmar, le Bangladesh, le Sri-Lanka et l'Indonésie sont durement frappés par le tsunami du 26 décembre 2004. Après la forte mobilisation internationale et les multiples promesses de dons, des États se mobilisent et se concertent afin d'apporter une aide humanitaire et sanitaire aux populations sinistrées.

    La France décide de l'envoi de deux bâtiments de la Marine nationale, dont le porte-hélicoptères «Jeanne d'Arc», dans la zone proche de l'épicentre de l'île de Sumatra en Indonésie.

    Pendant cette opération d'assistance humanitaire et militaire dénommée «Beryx» (du nom d'un poisson vivant dans l'océan Indien), je vais partager le quotidien des marins qui vont démarrer dans la ville de Banda-Aceh afin de porter secours et assistance à la population sinistrée.

    La cité portuaire a été littéralement engloutie par les vagues meurtrières, sauf une mosquée (le point blanc repérable sur ce cliché). Certains y voyaient l'oeuvre d'Allah-le-tout-puissant...