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  • L’ESPRIT KIEFFER (RÉACTUALISÉ)

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    Commémoration des opérations du débarquement en Normandie le 6 juin 1944 obligent, moult ouvrages sortent actuellement en librairie. Parmi eux, 3 Beaux-Livres dédiés au commando Kieffer signés par 3 spécialistes. Revue de détails.

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  • HAROUN TAZIEFF : SON PÈRE, CE HÉROS ?

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    Après-demain, c’est le centenaire de la naissance d’un volcanologue renommé : Haroun Tazieff (1914-1998). Frédéric Lavachery est l’auteur d’une biographie dédiée à son père, figure très populaire de la France des années 1960 à la fin des années 1990.

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    Haroun Tazieff est incontestablement une figure du monde de l’Aventure hexagonale du 20ème siècle. Un monde alors très segmenté : Jacques-Yves Cousteau pour la mer, Maurice Herzog pour les montagnes, Paul-Emile Victor pour les pôles, et donc Haroun Tazieff pour les volcans (ECOUTER LA BLAGUE A CE SUJET, C'EST ICI).

    Les plus anciens se souviendront de l’image publique laissé par l’homme : celle d’un homme de terrain qui ouvert la volcanologie contemporaine au plus grand nombre, souvent au grand dam des plus éminents scientifiques (un classique du genre).

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    Avec l’aide de collaborateurs qu'il s'est choisis tout au long de quarante années d'expéditions, Haroun Tazzief a développé la recherche en volcanologie, s'intéressant notamment au rôle des gaz dans les dynamismes éruptifs, à la présence d'eau dans les magmas, au volcanisme sous-marin, aux techniques de mesure des variations de champ magnétique en liaison avec l'activité éruptive, en encore à l'observation directe de la dérive des continents et aux échanges de masses et d'énergie entre les appareils volcaniques et l'atmosphère.

    Ce volcanologue-tout-terrain a ainsi largement contribué à révolutionner une science qui n'était guère reconnue, sinon quasiment inconnue en Belgique et en désuétude en France.

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    D’OMBRES ET DE LUMIÈRES

    Son histoire ne s’arrête évidemment pas à son passif de volcanologue, elle est étroitement liée à son rôle de passeur. Car, à l'instar d'un Jacques-Yves Cousteau, Haroun Tazieff a été un cinéaste. Il est un pionnier du «filmage» des volcans pris sur le vif et de la communication entre les volcanologues et le grand public. Il a démontré la nécessité d'expéditions pluridisciplinaires sur les volcans actifs et les volcans en éruption. Et ce, malgré nombre de polémiques.

    La lecture de cette bibliographie est éclairante, elle renseigne sur un homme, son destin, ses coulisses, une époque et ses secrets.

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    Haroun Tazieff était ainsi un ami proche du dessinateur belge Hergé qu'il a bien connu à Bruxelles. Le dessinateur le comparait à Jules Verne[1].

    Outre ses faces lumineuses, l'auteur dévoile d'autre plus sombres. Car depuis la mort d'Haroun Tazieff en 1998, Frédéric Lavachery tente de percer les mystères de ce père qui ne l’a pas reconnu et à l’enterrement duquel il n’a pas été convié.

    Un exercice littéraire délicat que le "fils de" réussi avec habileté et doigté. Un biographie volcanique ? Je vous laisse juge...

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    › À LIRE
    Un volcan nommé Haroun Tazieff de Frédéric Lavachery. 359 pages - 20,99 € (L’Archipel)

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    › BONUS
    2014 est l’année des commémorations pour le Centre Haroun Tazieff, grand instigateur des évènements (conférences, forums scientifiques, expositions, rencontres, chorales et même une pièce de théâtre au Festival off d’Avignon) célèbrant le centenaire de la naissance du volcanologue médiatique. Pour en savoir plus, rendez-vous sur http://tazieff.fr/



    [1] :     Hors-série À Suivre Spécial Hergé, mars 1983, p. 17.

  • L'ÉTOFFE D'UN HÉROS

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    6 juin 1944, les soldats alliés débarquent en masse en Normandie. Parmi eux, un groupe de 177 Français portant un béret vert. 177 commandos menés par un homme : Philippe Kieffer.

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    Un «Beau-Livre» rend hommage à ce marin dont on dit qu’il est le père fondateur des commandos Marine et un héros du jour J. Rien ne prédestinait Philippe Kieffer à devenir une figure tutélaire des commandos Marine de la seconde guerre mondiale. Banquier influent pendant 20 ans, ce natif d’Haïti rentre en France quelques mois avant le début des hostilités.

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    Fort de ses convictions, mais sans expérience militaire, l’intéressé rejoint la France Libre. À 42 ans, il devient l’un des créateurs et le chef d’une troupe d’élite française, arborant le «béret vert». Cette unité sera la seule à débarquer le jour J sur les plages de Normandie.

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    Ce bel ouvrage lève le voile sur le destin de Philippe Kieffer, au-delà des discours convenus et des légendes fabriquées, comme sa participation remarqué au long-métrage Le jour le plus long.


    En plus de revenir sur le rôle de Philippe Kieffer durant le conflit - de la formation des commandos en 1942, de leur entraînement en Écosse, des opérations de débarquement en Normandie à leurs faits d’armes en Hollande - l’auteur consacre dans son ouvrage une large place aux trois vies de Philippe Kieffer.
     

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    En historien avisé, Benjamin Massieu revient sur les origines alsaciennes de Kieffer et sa jeunesse, sa carrière civile ou encore son engagement politique après-guerre. Un «Beau-Livre» au sens propre comme au sens figuré.

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    › À LIRE
    Philippe Kieffer, chef des commandos de la France Libre
    de Benjamin Massieu. 224 pages - 30 € (Editions Pierre de Taillac)

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    › BONUS
    Le film Commandant Kieffer - Chef des troupes françaises du débarquement de Stéphane Rybojad (52 mn). A voir sur Youtube


  • LA PLANÈTE VERTE

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    À la suite d'un accident d’avion, un jeune singe capucin né en captivité se retrouve brutalement seul et désemparé au cœur de la forêt amazonienne. Un long-métrage (en salle le 27 novembre prochain) signé
    Thierry Ragobert, l’auteur de nombreux films documentaires et réalisateur du remarqué La Planète Blanche. Direction cette fois la forêt amazonienne pour un film entre documentaire et fiction.

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    › L’HISTOIRE
    Sans repères et confronté aux mille et un périls de l'immensité verte un jeune singe capucin va devoir s’adapter à cet univers inconnu, grouillant, foisonnant, souvent merveilleux mais aussi étrange et hostile. Héros d'une extraordinaire aventure qui lui fera affronter non seulement ses semblables mais aussi des prédateurs redoutables, des végétaux toxiques et l'Amazone en crue,  il va entamer un long voyage qui lui permettra de découvrir enfin sa seule chance de survie: une place parmi les siens…

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    › LA GÉNÈSE
    Né en 2006 à la sortie du film La Planète blanche, grande épopée de la vie en Arctique sur une année, le projet Amazonia raconte cette fois un autre biotope essentiel  de notre planète : l’Amazonie, la Planète Verte. Confession du producteur : « Pour raconter le fonctionnement de cet incroyable écosystème, qui abrite plus de 10% des espèces de la planète, il me semblait évident qu’il fallait trouver un moyen de la faire ressentir physiquement au spectateur, l’immerger, dans la forêt, avec ses bruits, ses odeurs, l’humidité, cette impression d’écrasement que procure le premier contact,  la peur de toute cette faune qu’on aperçoit plus qu’on ne la voit, mais qui est toujours présente autour de nous. Il était essentiel de vivre cette histoire par le biais d’un personnage qui fasse la même expérience que celle  que nous pourrions faire nous-mêmes. Il fallait un animal candide, pour faire cet apprentissage de la forêt ».

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    › UNE ANECDOTE

    Le réalisateur Thierry Ragobert a d’abord imaginé que cette histoire pourrait être vécue par un jeune marsupial, qui se trouverait séparé de sa mère par la crue, et serait confronté aux périls de la forêt. C’est son ami et partenaire Luc Marescot qui a eu l’idée du singe capucin, parce qu’il avait eu l’occasion de voir à quelle vitesse cette espèce de singes pouvait apprendre de son environnement. L’idée du singe capucin a tout de suite été retenue, et comme il fallait qu’il ne connaisse pas la forêt, Luc a imaginé  un singe vivant parmi les hommes, et un accident d’avion qui le plongerait dans la forêt, où il serait obligé  de réapprendre à vivre.

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    › UN DÉCOR NATUREL

    Le tournage s’est échelonné sur 2 ans, après près de 6 mois durant lesquels les jeunes animaux ont dû s’habituer à la présence des hommes et des caméras sur leur territoire. Tout s’est construit jour après jour, avec une patience  infinie dans le travail avec les jeunes singes et les autres animaux. Il fallait réinventer sans cesse les scènes écrites pour  s’adapter aux comportements des animaux. Pour que l’expérience d’immersion dans la forêt soit la plus forte possible, il fallait que le film puisse tenir sans aucun commentaire, et qu’il soit tourné en relief, ce qui n’avait jamais été fait en plein cœur de la forêt amazonienne,  avec des animaux à peine imprégnés, et d’autres sauvages.

     
    › FICHE TECHNIQUE

    Amazonia. Un film réalisé par Thierry Ragobert. Un scénario de Johanne Bernard, Luiz Bolognesi, Louis-Paul Desanges, Luc Marescot, & Thierry Ragobert, d'après une idée originale de Stephane Milliere & Luc Marescot. Images (coleurs, 3D) de  Manuel Teran, Gustavo Hadba, Jerome Bouvier. Musique de Bruno Coulais; sound (Dolby Digital).  1h25. France/Brésil. Un film entièrement tourné en 3D. En salle le 27 novembre prochain.

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    › FICHE TECHNIQUE
    RDV sur le site web officiel.

     

  • BESOIN DE MER (RÉACTUALISÉ)

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    Peintre de Marine, Philip Plisson est certainement aujourd'hui le photographe de mer le plus médiatique et le plus reconnu. Comptant à son actif moult ouvrages et clichés de mer devenus célèbres, son œil, sa « patte » et son ancre de Marine ont fait sa marque de fabrique. C’est dans le Morbihan, à la Trinité sur Mer, son port d’attache, que le Philip Plisson s'était confié à moi il y a quelques mois. A l'occasion de son soixante-sixième anniversaire, le photographe très prolifique signe d'ailleurs son soixante-sixième livre ! Retour sur d'étonnantes confessions d'un passionné des océans.

    Propos recueillis par Stéphane DUGAST

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    « Près de 90 % du commerce mondial s’effectue par la mer avec les conséquences que l'on connaît en matière de pollution. Vous parcourez depuis des décennies océans et littoraux de notre planète, comment l'homme gère selon vous aujourd'hui cet environnement ?

     - Philipp PLISSON : À mes yeux, il y a enfin chez les politiques et nos concitoyens une prise de conscience des océans et de leur avenir. Jusqu’à récemment, la mer ne semblait pas être totalement ancrée dans le paysage médiatique hexagonal.

    Pourtant, la France offre le trait de côte le plus long d’Europe. La Marine nationale a longtemps été la seconde force navale dans le monde. La mer semblait délibérément occultée des discours. Le Grenelle de la Mer a indéniablement mis en lumière cet univers et ses enjeux.

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    Ce Grenelle a surtout permis de poser les bonnes questions en réunissant autour de la table des spécialistes et en les faisant plancher sur des problématiques majeurs pour nos océans, et par delà nos sociétés modernes.

    Quant à la gestion de l’homme de son environnement sur notre planète, je laisse le soin aux spécialistes de faire leurs commentaires. Eux seuls peuvent parler des océans et de leurs enjeux du fait de leur expertise. Il y a à mon sens en ce moment trop de donneurs de leçon qui parlent, à tort et à travers, des océans et d’écologie.

    Pour ma part, c’est un univers que j’observe, que je regarde et que je photographie depuis des décennies. La mer m’inspire des émotions et des réflexions mais jamais je ne me permettrais d’être un donneur de leçon.

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    Depuis le printemps 2009, vous vous êtes lancé dans un projet ambitieux : photographier la France et son littoral vue de la mer. Quelles en sont les raisons et les motivations ?  

    J’ai voulu porter un regard photographique sur le littoral hexagonal depuis la mer. Cela peut aujourd’hui paraître être une évidence mais cette dimension n’avait encore jamais été appréhendée.

    J’ai ainsi voulu écrire photographiquement parlant le littoral français en partant de la frontière belge à la frontière italienne. J’avais cette idée en tête depuis longtemps.

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    Encore fallait-il oser se lancer dans ce projet hors normes. Economiquement, c’est loin d’être viable mais l’intérêt de ce projet, comme sa portée, sont indéniables. A ce jour, j’ai déjà parcouru 6 820 milles, soit 12 630 kilomètres pour les terriens. A raison de 6 heures de photo en moyenne par jour, vous pouvez en déduire que j’ai navigué pendant 263 jours de mer.

    Mais plutôt que de vous asséner de chiffres, parlons de l’esprit de La France vue de la mer. C’est un clin d’œil à la vocation première des peintres de Marine, un corps d’artistes créé aux origines pour témoigner sous forme d’inventaire des ressources maritimes de la France.

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    Sillonner le trait de côté m’a également donner l’idée de m’intéresser également à la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM). J’ai ainsi décidé de dresser un inventaire des hommes et des moyens de la SNSM. Je ne pensais pas que cela serait autant gourmand en temps.

    Car, il faut prendre rendez-vous avec chacune des stations de la SNSM, organiser des séances photos avec les unités en mer puis ensuite photographier les équipages à terre. Même si cet inventaire supplémentaire me ralentit considérablement, je suis fier de mener cette mission au profit d’une association à laquelle je suis intimement liée et qui, de surcroît, est essentielle pour les gens de mer.  

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    Comment réussissez-vous à concilier ces contraintes avec votre exigence artistique également gourmande en temps ?

    J’ai descendu le trait de côte en le photographiant comme il se présentait. Je n’ai pas attendu des heures la lumière exceptionnelle, ce grain noir ou ce coup de vent qui donne à un cliché force, esthétisme et puissance, sinon j’y aurais passé des années.

    L’essentiel a été de parcourir le trait de cotes et le photographier tel quel. J’ai cependant tenu à parcourir le trait e de côtes toute en faisant le tour de toutes les îles et en visitant tous les estuaires, les abers ou les baies. C’est un travail titanesque !

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    Prenons l’exemple de la Bretagne, rien qu’à elle seule ce sont ainsi 3 500 kilomètres de trait de cotes que j’ai photographié. D’un point de vue éditorial, j’ai découpé mon travail par segments géographiques. Paru en librairie, le premier tome de La France vue de mer s’est ainsi concentré des plages du Nord au Mont-Saint-Michel. Les tomes suivants seront dédiés à la Bretagne puis à la façade atlantique. J’achève en ce moment mon travail sur le littoral méditerranéen avant de m’attaquer à la Corse »

    Photographies : Philipp PLISSON / www.plisson.com

     

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    EN SAVOIR +

    Le site « officiel » de Philipp Plisson  http://www.plisson.com/

    Le blog de Philipp Plisson  http://www.philip-plisson-blog.com/ 

     

  • TV PLISSON

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    Peintre de Marine, Philip Plisson est certainement aujourd'hui le photographe de mer le plus médiatique et le plus reconnu. Comptant à son actif plus d’une cinquantaine d’ouvrages et des clichés de mer devenus célèbres, son œil, sa « patte » et son ancre de Marine ont fait sa marque de fabrique. Jusqu’à présent, aucune caméra n’avait pénétré son intimité. C’est chose faite grâce à l’auteur-réalisateur Christian Deleau à qui le photographe-entrepreneur s’est confié.

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    « Portrait d’un Pêcheur d'Images », c’est le titre de ce film de 52 minutes réalisé pour Thalassa par Christian Deleau.  Pendant un an et demi, l'équipe de production a ainsi suivi le peintre de Marine à bord de Pêcheur d'Images embarqué pour la réalisation de son inventaire en 6 volumes de la « France Vue de la Mer », et des Stations des Sauveteurs en Mer.

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    L’équipe l’a également  rejoint à Madagascar pour le voir travailler dans le cadre de son prochain ouvrage dédié à cette île continent.  Autres séquences phares, celles pendant des prises de vues lors des tempêtes bretonnes ou à bord de la frégate Latouche-Tréville afin d’illustrer son travail en tant que Peintre de la Marine.

    Christian Deleau et son équipe ont également partagé son quotidien au sein de la société d’éditions Pêcheur d’Images, avant qu’elle ne soit entièrement détruite par un incendie.

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    « Un reportage iodé haut en couleurs, en rencontres, en émotions pour rentrer dans l'univers d'un marin photographe. Un film où Philip se livre et se confie pour la première fois ! A enregistrer pour votre filmothèque », voilà ce que promet le réalisateur. A vos écrans pour juger sur pièces de ce film-portrait assurément événement.

     Photographies : Philipp Plisson
    Sources : Pêcheur d'image & Christian Deleau

     

    A REGARDER
    « Philip Plisson, portrait d'un pêcheur d'images ». Film documentaire (52 min). RDV vendredi 9 septembre 2011 à 8h55 sur France 3 Bretagne, France 3 Pays de Loire, France 3 Normandie, France 3 Paris IDF et France 3 Centre.

    A VOIR
    Un extrait du film est visible sur le site web du réalisateur Christian Deleau

     

  • PLACE DU TROCADERO

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    MUSEEMARINE charcot.jpgPompon rouge, j’ai découvert ce musée lors de mon service militaire dans la Marine en 1999. Un établissement installé en plein Paris, place du Trocadéro, à quelques encablures d’une « Dame en Fer » célèbre. Forcément, ça en imposait pour moi le provincial.

    D’emblée, ce musée m’a plu. J’ai toujours adoré y flâner. Et m'isoler dans ses recoins peu fréquentés. Les  lieux sont inspirants. Les toiles majestueuses, les maquettes de voiliers ou de cuirassés, minutieusement reconstituées. Quant aux expositions temporaires, elles sont à chaque fois étonnantes et savamment mises en scène. Place du Trocadéro, mon imaginaire s’enflamme. Je deviens un marin grand voyageur.

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    MUSEEMARINE France.jpgDepuis, j’ai visité d’autres musées marins. A Brest, à La Rochelle ou à Saint-Pétersbourg notamment. C’est au musée de la Marine de Paris que j’aime pourtant régulièrement revenir.

    Et dire que je n’ai pas encore vu l’exposition consacrée au paquebot « France ». L’appel vers la place du Trocadéro devient pressant…

    Stéphane DUGAST
    Photographies DR

    Le siteweb du musée : www.musee-marine.fr

    LE MUSEE EN VIDEO //