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Lui, c’est Philippe Dubois, il a été presque 40 ans durant le fidèle assistant de Jean-Marie Chourgnoz, artisan-chercheur. Suite à la disparition de ce dernier, il a décidé de rendre hommage au Maître dans un ouvrage recensant son œuvre foisonnante oscillant entre photographies du réel et illustrations-collages d’un monde onirique. Explications avisées de l’auteur de cet hommage à du bel ouvrage.
1998 - 2018. Il y a 20 ans disparaissait Éric Tabarly, un navigateur d'exception et un visionnaire, dont l'héritage technique et humain perdure encore aujourd'hui. Sixième épisode d'un feuilleton consacré à celui que l'on avait baptisé «l’idole des houles». Focus sur un livre très intimiste co-réalisé par Jean Guichard, photographe et complice.
160 pages pour explorer toutes les facettes de ce qui se laisse difficilement apprivoiser, c’est la promesse du numéro 2 de ce magazine très qualitatif fabriqué et édité par le voyagiste Terres d’Aventure. (D)étonnant !
Les garde-côtes du Bangladesh ont découvert, il y a une semaine, les corps sans vie de 26 Rohingyas, parmi lesquels de nombreux enfants. Leurs bateaux avaient chaviré alors qu’ils fuyaient les violences en Birmanie. Le point de vue de l’agence de presse Zeppelin viscéralement attachée à cette région du globe.
Photographier la mer et ses humeurs, c’est devenu la passion de Philippe Dannic au point de devenir son obsession. Patient, l'artiste est désormais prêt à publier un livre dédié à son sujet de prédilection grâce à une exposition. Rapides explications.
Photographe infatigable arpenteur des océans (LIRE SON INTERVIEW), Philip Plisson n’a pas hésiter une seconde à s’envoler pour immortaliser la tempête Petra. Résultat ? Un bol d’embruns et un océan (vue du ciel) en furie. Magique !
CE QUE PHILIP PLISSON DIT « Des hommes de mer, je partage les gestes et les rites, la patience qui souvent couronne la rapidité de l'action. Les formes, les nuages, la couleur de l'eau ou du ciel, le jeu des marées, la force et la direction du vent sont autant de signes qui me mettent en éveil et me conduisent là où je pressens qu'il faut jeter le filet. Inlassablement, je m'attache à les donner à voir »
Avant de se consacrer à la production de contenus multimédia à fortes valeurs ajoutées, Christophe Géral a été pendant plus de quinze ans photographe en agence de presse. En 2001, il s’est consacré à la réalisation de «grands reportages» à travers le monde entier. Dans sa malle aux «trésors», des milliers de clichés de voyage, dont certains fort évocateurs. Premier cliché et premiers commentaires faisant référence à une autre de ses passions : le cinéma.
« Lorsque j’ai vu pour la première fois le film «Un singe en hiver», je me suis bien promis qu’un jour j’irai naviguer moi aussi sur le Yangzi Jiang (NDLR : Yang-Tse-Kiang). C’était en 2005 et j’ai attendu ce jour comme la promesse d’un moment unique.
La tirade de Gabin, une des plus belles invitations au voyage du cinéma.
Le voyage, entre la réalité et le rêve, entre la vision et l’émotion... »
› BONUS
- Bon. Nous allons donc poursuivre notre mission civilisatrice. Et d'abord, j'vais vous donner les dernières instructions de l'Amiral Guépratte, rectifiées par le Quartier-maître Quentin ici présent.
Voilà : l'intention de l'Amiral serait que nous percions un canal souterrain qui relierait le Wang-Ho au Yang-Tse-Kiang.
- « Je ne vous apprendrais rien en vous rappelant que Wang Ho veut dire fleuve jaune et Yang Tse Kiang fleuve bleu. Je ne sais si vous vous rendez-compte de l'aspect grandiose du mélange : un fleuve vert, vert comme les forêts comme l'espérance. Matelot Hénault, nous allons repeindre l'Asie, lui donner une couleur tendre. Nous allons installer le printemps dans ce pays de merde !
Extrait Un singe en hiver d’Henri Verneuil – 1962.