BIVUAK, LE SOUFFLE DU MONDE SAUVAGE

Avis de naissance d'un nouveau Mook : BIVUAK propose une découverte alternative et engagée du monde qui nous entoure. À la frontière entre le magazine et le livre, BIVUAK est conçu comme un recueil d’articles aux thématiques variées mais toutes liées à l’exploration, à la nature et au voyage. Au travers d’expériences singulières, artistes, explorateurs et voyageurs y dessinent leur passion commune pour les espaces sauvages.

EMBARQUEMENTS vous fait découvrir ce nouveau-né prometteur dans la monde de l'édition. La maquette du premier numéro nous a « bluffés ». Format équilibré, graphisme particulièrement soigné, thématiques propices au voyage intérieur… On respire, place à l'émotion !

Il reste quelques jours pour aider à cette heureuse naissance grâce au financement participatif, ici : lien

Le crédo du trio des jeunes géniteurs : sentir le souffle du monde sauvage, le contempler, palper la sérénité des grands espaces. Pour Yann, Emmanuel et Sébastien, l'aventure se doit d'être montrée comme source d'inspiration créative, loin de la recherche d'exploits ou de records. Il s'agit, tout simplement, de montrer la beauté du monde dans ce qu'elle a de plus inspirant.

 

Emmanuel témoigne pour Embarquements :

« Comme souvent, surtout en Bretagne, les meilleures idées naissent d'une discussion entre amis à la terrasse d'un bistrot ! C'est ce qui nous est arrivé pour le projet BIVUAK. Cela fait maintenant plusieurs années que l'idée a germée, et nous y travaillons d'arrache-pied depuis plus d'un an. Je suis devenu photographe naturaliste et outdoor dans la continuité de mon métier de garde du littoral. Ma rencontre avec Sébastien, graphiste sensible à l'environnement, a été décisive. Yann, l'ami des années étudiantes et très engagée dans la protection de l'environnement, s'est enthousiasmé pour le projet et a mis sa belle plume au service l'aventure. Et voilà ! Notre trio était né ! »

Le Mook, cet objet hybride moitié livre, moitié magazine, prend tout son sens avec BIVUAK. Sortir un numéro par an permet d'approfondir les sujets, de favoriser les belles rencontres, d'affiner une ligne éditoriale ambitieuse.

« Nous aimons les pays scandinaves, où le format Mook est assez répandu comme en Angleterre ou aux USA. C'est un format qui permet une grande créativité, ce qui est essentiel pour nous qui puisons notre créativité au sein même des grands espaces. »

A l'heure où la presse papier connaît tant de difficulté, le pari est audacieux !

« Nos expérience ont été quelquefois frustrantes, car nous contrôlons rarement l'usage qui est fait de nos textes et de nos photos. Alors, nous avons voulu nous donner la chance de maîtriser toute la chaîne de fabrication du Mook. BIVUAK est le résultat de nos recherches, de notre travail, et de celui de ceux qui collaborent à la revue. Issus d’horizons divers, une douzaine de scientifiques, artistes et voyageurs participent à ce premier numéro. Ils partagent une même philosophie de découverte et d’exploration du monde qui nous entoure. »

BIVUAK ? Késako ?

[bivuak] est la transcription phonétique de bivouac – un campement temporaire et transitoire qui impose souvent de planter sa tente après le coucher du soleil et de la démonter à l’aube. Il symbolise la philosophie des éditions BIVUAK : proposer une découverte de la nature en limitant notre impact sur celle-ci, une approche qui permet de ressentir sans filtre les éléments et le « wilderness » si essentiel à nos yeux.

Une ligne éditoriale prometteuse.

BIVUAK présente une ligne éditoriale indépendante et soignée tout au long de ses 124 pages : une mise en page sobre et claire, une typographie raffinée et une qualité d’impression irréprochable. L’objet papier est porteur de sens et de caractère, il est également synonyme de partage et de contemplation. Bien entendu, il n’y a pas et il n’y aura pas de publicité dans BIVUAK.

Le sommaire des 124 pages du premier Numéro consacré à la Laponie (mais pas que) est déjà une invitation au voyage:

Le bivouac, se ressourcer en cabanes, les aurores boréales en Laponie, Les Lofoten, en traîneau à chiens le long de la Kungsleden, le plus haut refuge de Suède, les espèces finlandaises, le désert d'Atacama avec un cueilleur d'étoiles, le désert de Gobi, entre la Tasmanie et l'Antarctique en hommage à l'Astrolabe, sans compter les dessins de faucons pèlerins.

Crédit photo : Bivuak

DS