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  • SACRÉ KASPER !

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    Si tous les chemins mènent à Rome, ceux de Kasper l’ont incité à poser ses œuvres dans une église de la capitale en compagnie d’autres artistes de renom.

     

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  • LES MARINS DES TEMPÊTES

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    À force de voir tous les jours depuis leur bureau le remorqueur de haute mer L’Abeille Bourbon sur le quai d’en face, les journalistes de Bretagne Magazine ont voulu en savoir plus sur les sauveteurs en mer.

    Une idée lumineuse et un sujet phare devenu le dossier spécial du numéro 63 de la revue Bretagne magazine (janvier-février 2012).

    Dans ce numéro haut en couleurs, parole est ainsi donnée aux différents acteurs du sauvetage en mer.

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    Premier reportage, celui vécu in situ pendant 24 heures à bord des hélicoptères de la Marine. L’occasion de rappeler qu’en quarante années d'interventions, 2 150 personnes ont été sauvées par les marins de la flottille 32F.

    Autre récit musclé, tout en images : celui d’un sauvetage dans le golfe de Gascogne afin de récupérer un voilier en détresse. A son bord : cinq personnes, dont un enfant de 4 ans…

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    Les sauveteurs bénévoles de la Société Nationale de Sauvetage Maritime (SNSM) ne sont pas oubliés. Gros plans sur ceux basés à l'île de Sein dont on dit que la chaussée est la plus mal pavée d'Europe et les récifs plus nombreux qu’ailleurs.

    Dernier reportage (et non des moindres !), celui dédié donc au plus célèbre des remorqueurs de haute mer de l’Hexagone : L’Abeille Bourbon.

    Pleins feux donc sur les héros des mers !

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    > EN SAVOIR PLUS
    http://www.bretagnemagazine.com/


  • À BON PORT

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    Le Tour du Monde en moins 50 Jours !
    Sprint final vers Ouessant et record en vue pour les 14 marins du maxi trimaran Banque Populaire V qui seront accueillis samedi matin en héros à Brest.


    Sauf imprévu, cap’tain Peyron et ses treize hommes d’équipage vont devenir les nouveaux détenteurs du Trophée Jules Verne en coupant la ligne d'arrivée fictive au large d'Ouessant, et ainsi détrôner Groupama 3 de Franck Cammas qui avait établi en mars 2010 un record que l’on jugeait difficilement battable.

    C’est donc demain matin que le Maxi Banque Populaire V -  « un avion de chasse » de l'aveu de son skipper - va normalement rallier Brest et ainsi achever en beauté cette circumnavigation. La date fatidique à ne pas dépasser étant celle du lundi 9 janvier à 17 heures 15 minutes et 34 secondes.


    Point d’arrivée à ce tour du monde à grande vitesse, Brest et sa municipalité ont tout prévu. Un dispositif important dans le port de plaisance du centre-ville («la Marina du Château») est d’ores et déjà mis en place afin d’offrir des animations et les infrastructures nécessaires à l’accueil du bateau, du public et de la presse.


    La cité du Ponant communique également à touts vents se targuant d’être le port des tous les chasseurs de record depuis plus de 30 ans.

    Philippe Monnet,  Olivier de Kersauson, Bruno Peyron, Peter Blake, Ellen MacArthur, Tracy Edwards, Jean-Luc Van Den Heede, Franck Cammas, Francis Joyon ou encore Thomas Coville, tous sont venus en effet s’amarrer à Brest pour célébrer leur record.



    Cette fois, c’est au tour de Loïck Peyron, véritable chef d’orchestre, de ce record, et de ses treize marins d’être dignement célébrés au pied du château abritant la préfecture maritime. Un point de repère familier de tout marin rentrant à bon port.

    A Brest(même), la fête promet d'être belle !

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  • À DESSEIN

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    Le comédien, réalisateur et écrivain Bernard Giraudeau est décédé en juillet 2010 alors qu'il achevait son deuxième album de bande dessinée intitulé « Les longues traversées », paru depuis aux éditions Dupuis. Christian Cailleaux, son ami dessinateur, raconte à sa façon leur collaboration ainsi que sa façon de dessiner.


    > Le site web de Christian Cailleaux
    http://www.cailleaux-bd.com/



  • VENTS PORTANTS

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    Une bande dessinée d’aventures aéronautiques vient de sortir en libraire. Une énième du genre ? Pas vraiment puisqu’on doit son origine à un officier de Marine. De surcroît, sa réalisation a été pilotée par deux as (belges) de la profession : le dessinateur Eric Loutte et le scénariste Emmanuel Herzet. Explications de textes.

    L’histoire est singulière. Tout commence lors d’une dédicace d’Éric Loutte, auteur de la série phare Biggles. Pendant la séance de dédicace, un lecteur apostrophe le dessinateur.

    «Je lui ai lancé l’idée de réaliser un prochain album avec des Rafale Marine. Puis je lui ai laissé ma carte de visite professionnelle», concède l’amateur éclairé.

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    Six mois s’écoulent. L’idée a séduit Eric Loutte qui prend contact avec le visiteur passionné d’un jour,  officier de programme Rafale dans la vie militaire. Le courant passe entre les deux hommes. Enthousiaste, le commandant Sébastien Fabre contacte à son tour le service de communication de la Marine nationale.

    Feu vert immédiat. Mieux, opportunité est carrément offerte au dessinateur, et à son complice scénariste, de passer une semaine sur le porte-avions Charles de Gaulle.

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    D’abord incrédules («Citoyens belges, on pensait ne jamais pouvoir embarquer»), les deux auteurs n’en croient pas leurs yeux : «Nous avons découvert l’ambiance, les bruits et  la chaleur. Tout ce qu’une photographie ne pourra jamais restituer. J’ai pris des milliers de photos, bien plus que je ne pourrai jamais en utiliser. Depuis ce voyage, complété par trois jours au centre de formation des pilotes en Bretagne, je n’ai plus jamais l’angoisse de la page blanche !» confiera a posteriori Éric le dessinateur.

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    Même son de cloche chez Emmanuel le scénariste : «Les marins ont joué le jeu à fond. Ils nous ont ouvert toutes les portes. Hormis le secteur nucléaire, on a pu tout voir ! Nous avons découvert une vraie ville flottante !».

    Le commandant instigateur est quant à lui également satisfait par ce premier contact auquel il a contribué et participé : «Il n’y a rien de mieux qu’une immersion pour comprendre la vie du bord et ses contraintes. En discutant avec les uns et les autres, Eric et Emmanuel ont également pu mieux appréhender la passion qui nous anime dans l’aéronautique».

    Autant de matières premières indispensables à l’élaboration d’une histoire dessinée.

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    Quant à la collaboration entre les deux auteurs et l’officier supérieur, elle se prolongera  pendant la réalisation de l’album. En spécialiste averti, épaulé par son adjoint le pilote Guillaume Jacob dit «Enzo», le commandant Fabre va ainsi «valider» toutes les planches  à la manière d’un consultant technique.

    «C’était essentiellement des détails de phraséologie, ainsi que quelques points très techniques qui parleront aux véritables amateurs d’aviation. Car on a voulu être réaliste, vraisemblable et pointilleux pour les spécialistes tout en s’intéressant au plus grand nombre».

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    Intrigue, dessin, dialogues, situations, séquences aéronautiques, tout a donc été pensé dans le moindre détail. Après des années passées à dessiner de vieux avions, Éric Loutte a ainsi franchi le mur du son à bord des Rafale.

    Son sens du détail, la précision de son dessin et la minutie dans sa recherche d'ambiances font mouche. Son compère très à l’aise dans les intrigues géopolitiques signe ici un imbroglio diplomatique, vu avec le prisme de la Marine militaire.CENTAURES 3.jpg

    Pour s’imprégner de son sujet, le scénariste - auteur par ailleurs de La Branche Lincoln, d'Alpha ou  encore Narcos - a ainsi ingurgité des milliers de pages de documentation avant d’embarquer et de découvrir in situ les rouages de la vie d’un porte-avions.

    «Tous nos sens ont sollicités», confient d'ailleurs en choeur les deux créatifs très enthousiastes : «C'est un cocktail permanent pour les yeux, les oreilles, l'odorat même avec l'odeur du TR5 consumé ou le souffle d'air brûlant des réacteurs sur le pont d'envol.  Nous avons été touchés par l'accueil des gens que nous avons rencontrés.Tout ce que nous avons glané dans ces rencontres humaines a été une véritable valeur ajoutée pour notre projet».

    Concernant le fil directeur du scénario de ce premier tome, il est simple selon Emmanuel Herzet : « On ne voulait pas que nos personnages se résument à leurs machines. Et puis il y a également plein de marins qui travaillent sur le bateau autour des avions. Le tome 2 fera la part belle à toute cette dimension humaine, au-delà des pilotes ».

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    Une approche ressentie à la lecture de l’album pour lequel certains  sont d’ailleurs élogieux précisant que les deux compagnons ont écrit une nouvelle page de la bande dessinée d’aviation «plus moderne, plus réaliste».

    L’officier de Marine instigateur du projet est quant à lui catégorique : «C’est du Buck Danny rénové avec une intrigue à la Largo Winch !».

    Avis aux lecteurs adeptes ou non du 9ème Art ou d’aventures aéronautiques, Centaures se dévore…

    Stéphane DUGAST
    Illustrations Eric LOUTTE / © Le Lombard

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    L’HISTOIRE //

    Les îles Amandine, ancien DOM-TOM situé au sud de la Réunion, connaissent une grave crise politique qui dégénère bientôt en guerre civile. S'échappant de justesse de la base d'où ils opèrent dans le cadre d'un accord militaire, les capitaines Yann « TNT » Trégord et Malia « Starbuck » Nozeret sont contraints d'atterrir en territoire hostile. Le porte-avions Charles de Gaulle, en escale à Djibouti, est immédiatement dépêché sur zone. A son bord se trouve le pilote Gil « Gecko » Morgan, tête brûlée et meilleur ami de TNT, impatient d'en découdre. Il ne sera pas déçu...

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    DES BONUS //

    Centaures, plus qu’un simple album,  une vraie BD multimédia ? Les éditions Le Lombard proposent  aux lecteurs acquéreurs de ce premier tome l’accès à une douzaine de contenus multimédia exclusifs par l’intermédiaire de QR codes.

    Le QR code (QR pour Quick Response) correspond un type de code-barres, constitué de modules noirs disposés dans un carré à fond blanc, pouvant être décodé rapidement via un téléphone mobile, un smartphone, ou encore une webcam.

    A noter que les QR codes présent dans l’album permettent de visionner des bonus comme des reportages vidéos tournés à bord du porte-avions Charles-de-Gaulle, des interviews des auteurs et de marins ou des vidéos inédites de la Marine. Une autre façon de prolonger la lecture version papier.

    Plus d’informations sur www.centaures-bd.com

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    A LIRE // Centaures – Tome 1 : Crisis. Scénario d’Emmanuel Herzet. Dessin d’Éric Loutte. 48 pages - 11.95 € (Le Lombard)