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Académicien, écrivain et ardent défenseur de la langue française, Erik Orsenna vient de signer un roman haut en couleurs. Direction Bamako et le Mali en compagnie de Madame Bâ et de son griot.
Sa précédente enquête La vérité sur notre guerre en Libye(Fayard, 2012) lui a valu d’être distingué par les spécialistes des affaires militaro-géopolitiques. Jean-Christophe Notin récidive en s’intéressant cette fois à la France et à la Côte d’Ivoire de 1999 à 2013.
Ce sont ainsi quinze ans de relations souvent tumultueuses entre Abidjan et Paris que l’auteur, toujours aussi bien renseigné, passe au crible.
Fort de témoignages inédits - des décideurs politiques ou militaires de l'opération Licorne - l’écrivain aborde les évènements sous l’angle géopolitique, militaire, diplomatique et politique, offrant ainsi une vue d’ensemble des relations franco-ivoiriennes et surtout de ses coulisses.
Un essai pour mieux appréhender la Côte d’Ivoire et les engagements militaires de la France en Afrique, comme ceux récents au Mali ou en Centrafrique. Éclairant.
› Le crocodile et le scorpion - La France et la Côte d’Ivoire (1999 – 2013) de Jean-Christophe Notin. Collection Lignes de feu. 440 pages – 20 € (éditions du Rocher)
Reporter embarqué pendant plus d’une décennie, j’ai souvent enfilé une «Mae West». Je ne m’étais jamais interrogé sur cette appellation sibylline. De récentes recherches sur l'appellation de ce gilet de sauvetage m’ont mené jusqu'à Hollywood. Finalement, ce mot marin ne manque pas d'air !
Homme de plume et grand voyageur, Jean-Luc Coatalem cherche la sèvre de ses ouvrages dans les horizons lointains. Son roman Le Gouverneur d'Antipodia nous plonge sur une île désolée de l'océan Antarctique. Un huis clos à deux réjouissant.
Du Sang et des Larmes, c’est le long-métrage inspiré du récit Le Survivant,signé Marcus Luttrell (qui récidive d'ailleurs en signant une suite : Retour au Combat). Deux livres donc et un film sur l'engagement américain en Afghanistan et en Irak. Focus sur un long-métrage narrant de l’intérieur une opération de commandos américains en Afghanistan. Un film de guerre plus subtil qu'il n'y parait...
Les adeptes de film de guerre vont être aux anges avec l’adaptation du récit de Marcus Luttrell sur grand écran le 1er janvier prochain. Ce long métrage nerveux, signé Peter Berg (Very bad things, Le Royaume), va sans conteste combler leurs attentes un brin douchées par Forces Spéciales, long-métrage français souvent jugé trop simpliste (LIRE LA CHRONIQUE), et ce malgré la participation remarquée de Marius (VOIR L'ENTRETIEN).
Si la presse, ou l’opinion peu aux faits des «choses» militaires, devraient logiquement railler la dimension trop patriotique et trop héroïque de ce long-métrage inspiré d’une histoire vraie, les plus curieux vont y trouver leur compte.
Si je n’ai pas encore lu les deux ouvrages de Marcus Luttrell, j’ai vu en avant-première le film Du Sang et des Larmes. Et j’ai apprécié !
Adepte de film du genre, j'ai trouvé celui de Peter Berg est réussi et abouti. Car le réalisateur (et scénariste) s’est parfaitement imprégné de l’univers des Navy Seals, de leur technicité au combat, de leur fraternité et de leur esprit de corps.
Si le patriotisme (parfois exacerbé) d’outre-Atlantique peut prêter à sourire, ce long-métrage a le mérite de nous plonger au cœur d’une opération militaire à hauts risques en nous dévoilant sa préparation sans faille, son déroulé contrarié et ses risques (pour ne rien vous dévoiler de plus du scénario haletant).
L'implication des acteurs (un judicieux casting) est palpable à chaque séquence, voire à chaque plan. Par l'entremise de Marcus Luttrel (le vrai Navy Seals), tout a été minutieusement étudié et pensé pour coller au mieux à la réalité, et rendre ainsi hommage aux soldats engagés dans cette opération qui va se révéler meurtrière.
Car la réalité est terrifiante. Infiltrés dans une zone montagneuse d’une province reculée de l’Afghanistan, quatre Navy Seals vont se faire prendre en chasse par des talibans enragés. L'issue de cette opération Red wings (lire le récit de l'opération en vrai sur Wikipedia), consistant à localiser et neutraliser un chef taliban, va se révéler tragique.
Si le film de Peter Berg fait résonance, c'est grâce à sa réalisation, et notamment ses plans séquences filmés à hauteur d’hommes. La guerre, les opérations, ses dilemmes, ses horreurs et ses surprises se révèlent alors aux yeux du spectateur.
Ce film, couplé à ces deux livres, vous immergent au cœur de l’engagement militaire américain en Afghanistan. En France, des récits de qualité racontant l’engagement militaire en Afghanistan ont été publiés mais rien ne devrait filtrer au cinéma.
Ce genre semble effrayer la production hexagonale qui, à mon sens, préfère nous distraire avec moult comédies guimauves où le centre du monde parait tourner autour de Paris, de sa rive gauche, de ses grands magasins et boutiques, de ses appartements avec 3 mètres 50 de hauteur de plafond et de la vie (bourgeoise) trépidante de ses personnages.
Du sang et des larmes rompt cette monotonie, offrant aux adeptes du genre, et à ceux qui savent dépasser les préjugés, un film de guerre savamment ciselé et diablement efficace.
Quant aux récits de Marcus Luttrell (tous les deux parus chez Nimrod éditions), ils embarquent littéralement le lecteur au cœur du cauchemar en Afghanistan et de l’enfer en Irak, l’obligeant à s’interroger sur ce que signifie «servir son pays», et revenir à la vie civile marquée par le fer rouge de la guerre.
Même si ce film de guerre carbure fort au patriotisme (Hollywood oblige !), son principal atout est de nous plonger dans les coulisses d’une opération militaire, au plus près de ses hommes.
À l’instar d’un Apocalypse now (1979) au Vietnam, deLa ligne rouge (1998) ou de 317ème Section (1965) du regretté Pierre Schoendoerffer - VOIR L'HOMMAGE), Du Sang et Des larmesfait partie de ces films majeurs du genre, car il évite le manichéisme exagéré ou la vision trop romantique de la guerre.
Souvent scotché à son fauteuil, le spectateur déguste dès lors ce long métrage plus subtil qu’il n’y parait. C’est là tout le tour de force de Peter Berg en parfait «chef d’orchestre» de ce long-métrage sur vitaminé.
Stéphane DUGAST
* À LIRE :Le survivant de Marcus Luttrel et Patrick Robinson. 330 pages - 21 euros (Nimrod éditions) + Le retour au combat de Marcus Luttrel et James D. Hornfischer. 330 pages - 21 euros (Nimrod éditions)
› À VOIR Du sang et des Larmes de Peter Berg avec Mark Wahlberg, Taylor Kitsch, Emile Hirsch, Ben Foster et Eric Bana. USA - 121 minutes. Au cinéma le 1er janvier 2014.
› BONUS Les confidences de Marcus Luttrel lors de l'émission 60 minutes (en anglais)
Parce que sensibiliser le jeune public à un écosystème dangereusement menacé est une nécessité, les éditions de la Martinière et la production du film Amazonia(LIRE LA CHRONIQUE) se sont associés pour publier 3 Beaux-Livres plongeant les lecteurs au cœur du poumon vert de notre planète.
Amazonia, c’est un long-métrage en 3D en ce moment au cinéma (LIRE LA CHRONIQUE) racontant la vie d’un singe capucin qui toujours vécu en captivité et qui se retrouve, à la suite d’un accident d’avion, seul en pleine forêt Amazonienne.
Prolongez l’expérience du film réussi de Thierry Ragobert grâce à trois Beaux-Livres, dont le très pédagogique Amazonia – La Vie au cœur de la forêt amazonienne.
Du bel ouvrage illustré par les photos d’Araquém Alcântara considéré par les critiques comme l’un des précurseurs de la photographie naturaliste au Brésil..
Destiné principalement aux enfants (dès 8 ans), ce Beau-Livre raconte les dessous du «poumon vert» de notre planète, et nous emmène à la découverte de ses habitants.
Une façon ludique et didactique de découvrir la faune et la flore amazonienne, les décors sauvages et mystérieux du film de Thierry Ragobert. Un livre pour les petits comme les grands.
› Amazonia - La Vie au cœur de la forêt amazonienne de Johanne Bernard (Textes) et Araquém Alcântara (photos). 72 pages – 12.90 € (De La Martinière Jeunesse).
Photographe, bourlingueur et reporter, Marcel Mochet aime la mer et les marins. Fort d’embarquements sur des bateaux de pêche, il a réalisé son premier Beau-Livre. Embruns, houle et tempêtes garantis ! Premier coup d'essai et coup de maître car Les Pêcheurs des extrêmes vient de remporter le Prix du livre maritime L'Express - Le Nautic 2013, décerné par le Salon nautique international de Paris et la rédaction de L'Express. Un prix récompensant un Beau-Livre consacré à la mer.
Photographe professionnel à l'Agence France Presse (AFP), Marcel Mochet a écumé les mers. Celles du Nord comme en mer d'Irlande, en Norvège, en Ecosse ou en mer de Barents. Il a également embarqué dans les mers du Grand Sud, entre les quarantième Rugissants et les cinquantièmes Hurlants.
C’est donc en reporter au pied assurément marin qu’il a embarqué sur cinq bateaux de pêchehauturière, dont Le Grande Hermine, le dernier morutier français basé à Saint-Malo.
À bord, le reporter a partagé la vie des pêcheurs et leur rude quotidien. «Ils sont français, polonais, malgaches ou ukrainiens et embarquent sur nos grands bateaux-usines pour servir dans nos assiettes et sur nos meilleures tables, les produits de leurs longues campagnes de pêche», écrit d’ailleurs avec à propos le photographe et l'auteur de ce livre, avant d'ajouter sobrement : «Ces laboureurs des mersrestent trop peu connus du grand public».
Hommage est donc enfin rendu à ces marins de l'ombre. Du bel ouvrage de l'ami Marcel, «grand» reporter de mer.
(SD)
> À LIRE
Les pêcheurs des extrêmes de Marcel Mochet. 144 pages - 27 € (éditions du Rocher)
À mi-chemin entre BD et roman graphique, un ouvrage dédié à cinq aventuriers de l'extrême, dont les dessins sont signés Reno Marca, un dessinateur et illustrateur à la réputation bien établi dans le monde du voyage. Un Beau-Livre à déposer au pied du sapin, pour les petits (dès 11 ans) comme les grands.
› L’HISTOIRE
Au début du vingtième siècle, Shackleton rêve de traverser l’Antarctique encore inexploré. Alexandra David-Néel veut, quant à elle, être la première femme à pénétrer dans Lhassa, la ville tibétaine interdite.
Alain Bombard, celui qu’on appellera bientôt le «naufragé volontaire», cherche à prouver que l’on peut survivre sur l’océan, sans eau ni vivres. Concernant les aviateurs Guillaumet et Saint-Exupéry, ils se lancent à la conquête du ciel.
Shackleton, David-Néel, Bombard, Guillaumet, Saint-Exupéry… Tous ont cédé à l’appel de l’inconnu. Tous ont risqué leur vie, portés par leur soif de défis. Tous ont survécu, grâce à leur courage et leur ténacité hors pairs.
Au-delà de l’exploit, ces aventuriers de l’extrême nous prouvent que l’on peut repousser ses limites par la seule force de l’espoir et de la volonté.
› SES AUTEURS
Annick de Giry est historienne de l’art, auteur pour la jeunesse et passionnée de voyages. Elle a conçu des ateliers du patrimoine au sein du Centre des monuments nationaux dans une démarche ludique et créative. Elle est auteur, au Seuil jeunesse, des Grandes Routes (2012), et coauteur de la série des Jeux de l’oie.
Reno Marca est à la fois illustrateur, auteur, aventurier et voyageur. De ses nombreuses pérégrinations avec Claire Marca, il réalise plusieurs livres : 3 ans de voyage, qui a obtenu de nombreux prix, Madagascar, Algérie et Journal de la Mer d’Arabie, tous parus aux éditions de La Martinière.
› À LIRE Les Grands Aventuriers - De la terre, de la mer et du ciel. Annick de Giry (textes) et Reno Marca (dessins). 64 pages - 16.50 € (Le Seuil Jeunesse).
Retour vers le futur est un film culte pour de nombreux cinéphiles. À ceux qui n'auraient pas fréquenté les vidéos clubs ou regardé la télévision - à 4 chaînes (dont une payante) et sans télécommande - ce film produit par Steven Spielberg raconte les aventures du Doc' (Christopher Lloyd) et de Marty McFly (Michael J Fox) à travers le temps. Aujourd'hui, la Toile rend un bel écho (numérique) à ce long-métrage de science-fiction et d'aventures.
Adolescent américain typique des années 1980, basket de la marque à virgule aux pieds, Marty Mc Fly est un héros spielbergien. Lycéen, Marty aime le rock et le skate-board. Il est aussi l'ami d'un savant excentrique, le Docteur Emmet Brown, l'inventeur d'une machine à remonter le temps très particulière: une Delorean.
Grâce au "Doc", Marty se retrouve propulsé par hasard en 1955, à une époque où il n'était même pas né. Avant d'entreprendre son voyage de retour vers le futur, il va devoir s'assurer que ses parents, encore étudiants, se rencontrent...et tombent amoureux pour ne pas perturber son avenir et son présent.
Retour vers le futur (Back to the Future en version US) est un long-métrage qui a durablement marqué une génération, dont ceux nés au mitan des années 1970. Les bosn ingrédients étaient réunis : intrigue palpitante, quiproquos en cascade, voyage dans le temps, gags et séquences inoubliables...
Quasiment trois décennies plus tard, trois fans américains ont décidé de revivre et de faire revivre toutes ces péripéties aux internautes, en utilisant le web. Ils ont ainsi ouvert sur Twitter le compte "The Hill Valley Project" (du nom de la ville imaginaire où se déroulent les trois films).
Leur objectif ? Créer un compte pour chaque personnage du film et les faire tweeter, en temps quasi-réel, toutes leurs répliques. Pendant quelques jours fin octobre, les internautes ont ainsi pu lire les aventures de Marty et du Doc au mot près.
Du premier test de la DeLorean sur le parking du Twin Pines Mall à l'envol final vers 2015, qui annonce le volet numéro 2 de Retour vers le Futur. Un clin d'œil réussi et du bel hommage.
Repéré sur la toile entren temps, cette information réjouissante : Doc Brown dans Retour vers le futur, alias Christopher Lloyd, apparaîtra dans un prochain épisode de The Michael J. Fox Show, aux côtés de l'ex-Marty McFly. Nom de Zeus !
En dévoilant le court-métrage Aningaaq, la Warner Bros propose le point de vue terrestre d'une des scènes poignantes de Gravity. Éclairages sur ce bonus étonnant.
Aningaaq, c’est un court-métrage pas comme les autres réalisé par Jonas, le fils d'Alfonso Cuaron réalisateur de Gravity(LIRE LA CHRONIQUE).
Le court-métrage de Jonas propose un contre-champ polaire à une scène poignante du film de son père, en nous plongeant cette fois sur Terre, ou plus exactement sur la banquise.
On découvre ainsi Aningaaq, l’Inuit avec lequel le docteur Ryan Stone (Sandra Bullock) parvient dans Gravity à établir fugacement un contact.
Tourné sur la banquise au Groenland, ce court-métrage nous éclaire sur le dialogue de sourds entre Aningaaq et le docteur Stone. «Cette fois, tout est perçu du point de vue de l'esquimau, tout heureux de se faire une nouvelle amie et de partager avec elle ses soucis bien terrestres, sans se douter qu'elle cède peu à peu au désespoir, seule dans l'espace», explique le site web Cinéobs sur lequel j’ai repéré cette information (d)étonnante, «épatante» diront les aficionados, dont je fais partie.
6 juin 1944, les soldats alliés débarquent en masse en Normandie. Parmi eux, un groupe de 177 Français portant un béret vert. 177 commandos menés par un homme : Philippe Kieffer.
Un «Beau-Livre» rend hommage à ce marin dont on dit qu’il est le père fondateur des commandos Marine et un héros du jour J. Rien ne prédestinait Philippe Kieffer à devenir une figure tutélaire des commandos Marine de la seconde guerre mondiale. Banquier influent pendant 20 ans, ce natif d’Haïti rentre en France quelques mois avant le début des hostilités.
Fort de ses convictions, mais sans expérience militaire, l’intéressé rejoint la France Libre. À 42 ans, il devient l’un des créateurs et le chef d’une troupe d’élite française, arborant le «béret vert». Cette unité sera la seule à débarquer le jour J sur les plages de Normandie.
Ce bel ouvrage lève le voile sur le destin de Philippe Kieffer, au-delà des discours convenus et des légendes fabriquées, comme sa participation remarqué au long-métrage Le jour le plus long.
En plus de revenir sur le rôle de Philippe Kieffer durant le conflit - de la formation des commandos en 1942, de leur entraînement en Écosse, des opérations de débarquement en Normandie à leurs faits d’armes en Hollande - l’auteur consacre dans son ouvrage une large place aux trois vies de Philippe Kieffer.
En historien avisé, Benjamin Massieu revient sur les origines alsaciennes de Kieffer et sa jeunesse, sa carrière civile ou encore son engagement politique après-guerre. Un «Beau-Livre» au sens propre comme au sens figuré.
› À LIRE Philippe Kieffer, chef des commandos de la France Libre de Benjamin Massieu. 224 pages - 30 € (Editions Pierre de Taillac)
› BONUS Le film Commandant Kieffer - Chef des troupes françaises du débarquement de Stéphane Rybojad (52 mn). A voir sur Youtube
Ce partenariat ne manque pas d’audace et de panache ! L’éditeur de jeux vidéos Ubisoft s’est associé au musée national de la Marine à Paris pour y exposer un tableau épique. Celui d’Assassin’s Creed IV Black Flag, du nom du dernier opus d’une série de jeu vidéo à succès.
C’est une œuvre singulière et également collaborative. Via une expérience digitale interactive, 130 fans de ce jeu vidéo ont eu la chance unique d’être immortalisés par des étudiants de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris dans une toile intitulée Assassin’s Creed IV Black Flag.
Véritables acteurs du projet, les fans ont envoyé une photo d’eux exprimant des émotions différentes selon le rôle joué au sein de la fresque. Les fans dont la photo a obtenu le plus d’adhésion sur les réseaux sociaux se sont vus intégrés dans la toile finale.
Réalisée à la peinture à l’huile, respectant ainsi fidèlement les techniques du XVIIIème siècle, cette fresque historique de 2,30 mètres sur 4,5 mètres représente avec force et caractère une bataille navale fantastique en haute mer.
Dans Assassin’s Creed IV Blak Flag, les équipes créatives ont à cœur de développer un environnement naval particulièrement réaliste et riche. L’impression d’être en mer est intense et réelle grâce à l’évolution constante de la météo et du temps. Les navires d’époque sont fidèlement reconstitués. Le joueur se retrouve propulsé au cœur de batailles navales grandioses.
C’est donc tout naturellement que cette toile a trouvé sa place dans cet épicentre de culture maritime ouvert à Paris, Palais de Chaillot depuis 1943. Les jeunes, et moins jeunes curieux, ne manqueront donc pas de se rendre du 6 novembre au 2 décembre prochain au musée national de la Marine de Paris. Un musée décidément branché !