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EMBARQUEMENTS - Page 115

  • À CŒUR VAILLANT… 1|4

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    Formation musicale bretonne fameuse en France comme à l'étranger, le Bagad de Lann-Bihoué fête cette année avec faste son soixantième anniversaire. À la clef : un album truffé de collaborations musicales précieuses, une tournée marathon et des concerts événements. Retour sur  60 ans d'aventures musicales…

    L’anecdote est croustillante. Officiellement, c’est en août 1952 sur la Base Aéronautique Navale (BAN) de Lann-Bihoué, près de Lorient, que le bagad va naître grâce à une facétie, selon la légende, du maître principal Pierre Roumegou.

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    A l’heure de l’apéritif, le « ‘cipal » malicieux chipe une bombarde sortant de la poche d’un visiteur. Il se met alors à en jouer, entraînant le carré des officiers mariniers supérieurs dans une folle gavotte. Une habitude est née.

    Progressivement, une poignée de sonneurs de cornemuses et de bombardes rejoignent la troupe. Le recrutement se fait dès lors tout naturellement parmi les marins de la base qui jouent pendant leurs temps libres.

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    BAGAD
    C’est une formation musicale bretonne, inspirée du pipe band écossais, associant cornemuses, percussions et bombardes.

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    Carlos Nunez, Alain Souchon & le Bagad

    Des civils venant des villages voisins se joignent de temps en temps au groupe. Aux premières répétitions sur la base aéronautique succèdent d’autres dans les environs de Lorient. Première représentation publique à Scaër en 1953 pour le carnaval de la mi-Carême.

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    Septembre 1956, le secrétaire d’État aux forces armées pour la Marine approuve la création officielle de la formation musicale militaire, estampillée : « Bagad de Lann-Bihoué ».

    Les membres appartiennent aux différents services de la base et jouent le week-end en « service commandé », ce qui leur octroie 48 heures de repos à l’issue de celui-ci. Premières singularités, premières jalousies mais premiers succès. (À SUIVRE)

    Stéphane DUGAST

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  • EN PROFONDEUR

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    Terminator (1984), Abyss (1989), Titanic (1997), Les fantômes du Titanic (2003) ou Avatar (2009), James Cameron est un cinéaste mondialement connu mais également un homme passionné par le monde des profondeurs. Au point de s’être récemment embarqué dans une plongée inédite.

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    Descendre en solo dans la fosse des Mariannes et atteindre le point le plus profond des océans
    (surnommé Challenger Deep), soit 10 994 mètres sous la surface, telle est la nouvelle quête du réalisateur, scénariste et producteur d'origine canadienne.

    ll y a 15 jours, le cinéaste a ainsi embarqué quelques heures dans son submersible, en forme de fusée - le Deepsea Challenge - avant d’émerger de nouveau dans l’Océan Pacifique, à 500 kilomètres de l’île de Guam.

    Si la descente du submersible a duré 2h36, sa remontée n’a pris que 70 minutes selon National Geographic News, partenaire de l’expédition.

    Equipé de lumières surpuissantes et de caméras 3D, son submersible est également doté de plusieurs instruments lui permettant ainsi de collecter des échantillons dans les profondeurs océaniques.

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     « Nous en connaissons actuellement moins sur les océans et le monde des profondeurs que la planète Mars. Mon expédition est ainsi destinée à faire mieux connaître et comprendre les enjeux géologiques et biologiques de cet univers encore méconnu »
    James Cameron

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    Devenu le troisième homme à être descendu dans  le plus profond des océans - après  le suisse Jacques Piccard et l’américain Don Walsh à bord de Trieste en 1960 - le cinéaste (devenu explorateur) envisage désormais de poursuivre ses explorations dans les semaines qui viennent afin de poursuivre ses investigations.

    Autant de plongées qu'il ne manquera pas de filmer. Autant d'opportunités pour enrichir les séquences de son film dont il est pour une fois le héros ! (SD) 

    Visuels : ©deepseachallenge

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    EN SAVOIR PLUS
    > Le site de l’expédition
    http://deepseachallenge.com/

  • TRAMP : ESCALE ROUENNAISE

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    Le dixième tome de la série BD Tramp est paru. Avec Le cargo maudit, Jusseaume et Kraehn, les deux auteurs, rompent le cycle des séries. Escale cette fois à Rouen. Découverte de son port, de ses habitants et de ses bas-fonds.

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  • CLICHÉS EN RAFALE

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    Le Festival « Photo de Mer », c’est dans quelques jours à Vannes, l’élégante préfecture du Morbihan en Bretagne. Vagues, embruns, marins, ethnologie (polaire) amoureuse, tout un programme…

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    Depuis 2003, des photographes de renommée se succèdent à Vannes, invitant les visiteurs à voyager en cliché autour des océans. Parmi ces pérégrinations cette année, une exposition dédiée à un explorateur polaire illustre : Paul-Émile Victor (1907-1995).

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    « L’aventurier est le poète de l’errance. Il rêve ses rêves, comme chacun mais il est prêt à en payer le prix. C’est un imaginatif capable d’exprimer son rêve, de l’organiser et d’agir »
    Paul-Émile Victor

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    Trente de ses plus belles photos, prises au Groenland lors de son séjour en 1936-37, sont ainsi présentées en grand format et légendées. « Une incitation à la flânerie attentive et à la rêverie poétique » dixit Daphné Victor, fille de l’explorateur et experte de l’œuvre de son père.

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    EN SAVOIR PLUS //

    L'EXPOSITION « Paul-Émile Victor, l'ethnologie amoureuse - 66°N, 1936 », c’est au festival Photo de mer à Vannes. Rendez-vous du 6 avril au 6 mai prochains. Plus d'infos sur www.photodemer.fr 

  • FIN DE CAMPAGNE

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    C'est ce samedi 31 mars que le voilier Tara achève à Lorient (son port-base) son aventure scientifique débutée en 2009. Une belle et forte épopée qui aura vu plus de 120 chercheurs et 70 membres d'équipage se succéder à son bord afin d'étudier in situ les océans. Une campagne ambitieuse et utile ?
     


    Conçu pour résister aux pressions des glaces, le deux-mâts en aluminium - l'ancien Antartica, utilisé par l'explorateur Jean-Louis Etienne entre 1991 et 1996, devenu le Seamaster de Peter Blake (mort tragiquement au Brésil en 2001) puis Tara Oceans après son rachat par Étienne Bourgeois (président de la socité Agnès b.) - aura d'abord démarré ses aventures par une ambitieuse expédition en Arctique en 2007-2008. Une manière de célébrer l'année polaire mais surtout d'étudier un écosystème océanique à part.


    Tara Oceans
     aura ensuite poursuivi sa mission scientifique et écologique pendant 2 ans en effectuant un véritable tour du monde ponctué de « stations » (périodes de travail à un même endroit) aussi longues que nécessaires au profit des nombreux scientifiques embarqués à son bord.

    Une aubaine qui permettra ainsi à la communauté scientifique d'engranger une quantité considérable de données dont on estime désormais qu’il faudra des décennies à exploiter.

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    A l'heure des observations satellites étudiant les océans en continu, les campagnes de Tara Oceans peuvent paraitre aux yeux d'esprits (chagrins) vaines, voire peu utiles.

    N'en demeure pas moins un authentique esprit d'entreprise et d'aventures, résonnant en parfait écho avec les illustres campagnes d'exploration d'antan menées par les Cook, Bougainville & consorts.

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    Quant à la véracité scientifique, elle est avérée tant d'éminents spécialistes se sont pressés d'embarquer pour y étudier l'écosytème marin, et notamment le plancton.

    Autant données et d'observations patiemment recueillies sur les océans, un modus operandi parfois plus précieux qu'une image satellite. In Tara veritas...
     

  • PIERRE, JACQUES & LE CRABE...

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    Pour les marins et les férus d’horizons lointains, l'œuvre de Pierre Schoendoerffer sera à jamais associé à un film au titre étrange :
    Le Crabe-Tambour sorti sur les écrans en 1977. Son comédien fétiche et ami, le cinéaste Jacques Perrin se confie. Ultime hommage à  un « soldat de l'image » en Indochine, devenu un cinéaste et à un écrivain d’exception, disparu il y a une quinzaine de jours...

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    Sur le tournage du Crabe-Tambour, Pierre Schoendoerffer à la manoeuvre.

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    Un tournage à la une de l'hebdomadaire de la Marine

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    Jacques Perrin dit le « Crabe-Tambour »...

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    Aventures, drames, guerres, amitiés viriles... Les romans de Pierre Schoendoerffer ont même inspiré Hollywood !

     

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    FICHE TECHNIQUE
    ARCHIVES // ECPAD, Le Crabe-Tambour
    IMAGES, SONS & PHOTOGRAPHIE // Christophe GÉRAL
    MONTAGE & EFFETS // Cyrille CHARREAUX
    RÉALISATION // Stéphane DUGAST

     

  • LE SEL DE L’AVENTURE

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    4 800 kilomètres sans escale ni assistance à la seule force des bras pour traverser l’océan Atlantique en 41 jours, tel est le défi accompli le 9 mars dernier par Christophe Dupuy, devenu le premier officier de Marine à réussir pareil exploit. Récit a posteriori d’une navigation forcément pas comme les autres…

    - « Racontez-nous cette course à la rame ? Quels en ont été les temps forts ou à contrario les moments de doute ?

    - Christophe Dupuy : Cette traversée de l’Atlantique à la rame, je l'ai préparée pendant un an. Je l'ai abordée comme une mission. Je l'ai ainsi déclinée en phases et séquences comme on prépare une opération au sein des forces spéciales.

    Les temps forts sont incontestablement le départ et l'arrivée. Le départ, car on part un peu quand même vers l'inconnu.

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    L'arrivée, car c'est la fin et de tomber dans les bras de Bruno Le Tyrant (NDLR : ancien officier marinier commando en charge du technique) avec qui toute cette histoire n'aurait pas pu être possible s'il n'avait pas été là !

    Quant aux instants de doute, j’en ai eu un au moment du coup de vent au sud des îles du Cap Vert. Je n'ai pas pu ramer pendant 36 heures. Je me suis dit que si cela devait être comme cela tout le temps, cela allait vite devenir compliqué et ce, d'autant plus, quand on apprend que les autres se retournent les uns après les autres.

    On prend alors vraiment conscience que l'on est tout petit face à la mer. Un sentiment bizarre. Car ce sont autant cette force et sauvagerie que la beauté des images de cet univers dantesque qui restent et nous imprègnent…

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    En quoi avoir été un commando et nageur de combat vous a-t’il servi ou desservi pendant cette aventure ?

    - Dans la préparation et dans la réalisation. Préparation car comme je vais me répéter mais j'ai tout décliné pour ne rien laisser au hasard. Visiblement, cela a bien marché.

    Mon passé m’a servi dans l'action, car j'ai gardé une rigueur dans l'exécution. Je n'ai rien changé à ce que j'avais prévu. Le côté que j’ai un peu occulté, cela a peut être le côté contemplatif. Mais rassurez-vous, j'ai dans ma tête des images indélébiles. J’ai vécu des moments intenses et extraordinaires.

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    N'éprouvez-vous pas de frustration à ne pas être sur le podium alors qu'en vous suivant au quotidien, on a longtemps cru à une troisième, voire une seconde place ?

    - Effectivement, cela est dommage, mais j'ai réussi et là est ma victoire. De plus, au prologue, j'avais dit que je serai heureux d'être dans le top 5.

    Je finis cinquième grâce à un décompte de l'organisation qui fait un quatrième malgré deux troisièmes, donc contrat rempli !


    Concernant la solitude et le danger, comment l'appréhende t’on ? Avez-vous pensé à la mort ?

    J'ai eu peur, comme on part au combat ou avant mission, la veille et le jour du départ. Puis à partir du moment où je me suis retrouvé tout seul, la mécanique de la mission s'est mise en place, la concentration, il n'y avait plus d'états d'âme.

    La solitude ne m'a pas pesé et le danger été appréhendé donc pris en compte. Je ne me suis donc jamais laissé débordé.

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    Qu'éprouve ton à l'arrivée ? Une fois de retour à terre ?

    - Une grande satisfaction mais je ne prends conscience de l'avoir fait que depuis que je suis rentré auprès des miens ou en voyant les films et les photos.

    L'Aventure c'est quoi selon vous ?

    - La vie ! Il faut toujours avoir des projets pour avancer et la réalisation de ceci rend heureux… »

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    EN SAVOIR PLUS //
    Le récit de son aventure avant son départ

  • À l’HEURE AMÉRICAINE ?

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    Repartez SUR LA ROUTE... 66 ! Parution à la fin du mois en Allemagne du Beau-Livre éponyme dédié à celle que les Américains appellent la « Route-Mère » (mother road) et réimpression du Beau-Livre en version française. De quoi ravir et stimuler l'appétit de tout voyageur ou féru de grands espaces. Pour patienter,  un teaser concocté par mon ami et complice Christophe Géral, auteur de clichés évocateurs à bien des titres. Embarquement sur l’US 66 au cœur de l’Amérique…



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    À LIRE //
    SUR LA ROUTE 66  - Carnets de voyage
    Photographies de Christophe GERAL. Récit de Stéphane DUGAST Introduction de Philippe LABRO
    180 pages - 38,00 € 
    (La Martinière éditions)

  • PARFUMS PORTUAIRES #4

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    Après une enfance ensoleillée (Cf part 1 & part 2), Pierre Auzias est devenu un danseur professionnel chevronné (Cf part 3) quand sa vie va prendre un nouveau tournant en Normandie. Quatrième épisode d’une tranche de vie savoureuse à plus d’un titre…

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  • L'HISTOIRE DU MANGUIER

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    Les «bateaux gris» peuvent parfois mener une étonnante seconde vie. Ancien bâtiment de la Marine nationale en service jusqu’en 1998, Le Manguier est désormais un remorqueur… à voiles à vocation polaire ! Récit d’une étonnante transformation.

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  • LÀ-HAUT, AU-DESSUS DES NUAGES

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    Pierre Schoendoerffer, 83 ans, vient de perdre sa dernière bataille. Lui le survivant de Diên Biên Phu, réputé pour avoir su raconter la guerre en littérature comme au cinéma, s’est éteint le mercredi 14 mars, des suites d'une opération à l'hôpital militaire de Percy à Clamart. Pour les marins et les férus d’aventure, son œuvre sera à jamais associé au roman et au film Le Crabe-Tambour, sorti en 1977 sur grand écran.

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  • BONNE IDÉE

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    Une nouvelle série de BD dédiée à l’Histoire de l'exploration, une bonne idée initiée par Christian Clot, aventurier, cascadeur, écrivain, conteur, conférencier et désormais scénariste. Explications et images inédites de cette série (intitulée « Explora ») fort prometteuse en librairie aujourd'hui.

    LE POINT DE VUE //

    « Les grands explorateurs ont toujours repoussé les limites de notre monde et des connaissances. Souvent en marge de leur époque, trop en avance, extrêmes et écorchés vifs, ils ont ajouté leurs découvertes à la gloire des pouvoirs en place, tout en leur faisant peur...

    Ce que l'on garde d'eux dans les livres d'Histoire ne correspond pas à la réalité exacte des évènements, mais à une partie de cette réalité, celle qui a pu passer à la postérité.

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    On sait que dans tout événement historique de nombreuses zones d'ombres existent, que ce soit dans le but de simplifier la réalité, pour des raisons politiques ou par manque d'information. Il en va de même dans l'Histoire de l'exploration.

    En tirant sur les fils de ces zones d'ombres, la collection EXPLORA vous plonge au cœur de la véritable histoire des Grands Explorateurs et de leurs expéditions extraordinaires, dans tous les milieux du globe, sous la houlette de Christian Clot, explorateur et vice-président de la Société des Explorateurs français. Il est aussi le scénariste de Magellan »


    SYNOPSIS // Magellan, jusqu’au bout du monde

    « Magellan, seul contre tous... Alors que l'Amérique vient d'être découverte, que le Pape a divisé le monde entre Espagnol et Portugais et que beaucoup pensent encore que la terre est plate et suffisamment connue, un homme va imaginer qu'il est possible, en partant vers l'ouest, de revenir par l'est.

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    Magellan est pourtant prêt à renier son pays, laisser amis et amour derrière lui, lutter seul contre tous, affronter mutineries, traîtrises, mers déchaînées, faim et maladies meurtrières pour démontrer la justesse de ses idées : effectuer le premier tour du monde.

    Mais Magellan sait aussi qu'il devra aller jusqu'au sacrifice ultime pour que son rêve se réalise et que jamais son nom ne soit oublié… 
    »


    SYNOPSIS // Mary Kingsley, la montagne des dieux

    «  Elle est venue pour mourir, et va réapprendre à vivre ! Lorsqu'elle débarque en Angola au milieu de l'année 1893, Mary Kingsley n'a connu que trois choses : son quartier de Londres qu'elle n'a jamais quitté, sa mère malade dont elle s'est occupée et les écrits de voyages africains d'un père toujours absent.

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    Pourtant, à la mort de ses deux parents, elle embarque aussitôt pour une Afrique où sauvagerie, violence et horreur se côtoient selon les récits des explorateurs. Une Afrique dont elle ne connaît rien, mais qui lui a volé son père !

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    Elle est venue pour mourir. Ce qu'elle va vivre lui en coupe l'envie ! Dans la forêt tropicale, sur des fleuves ou des montagnes, elle apprendra les rudiments de la survie en milieu hostile, rencontrera des tribus « cannibales et sauvages » pourtant si riches, et ira plus loin que nul n'a encore été.

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    Au travers du regard d'une femme qui deviendra l'avocate infatigable du mode de vie africain, ce voyage, parfois au cœur de l'enfer, est un hymne aux échanges culturels et à la tolérance »

    Dessins © Glénat BD


    MAGELLAN.jpg9782723481953-L.jpgÀ LIRE //

    Magellan, jusqu’au bout du monde
    Mary Kingsley, la montagne des dieux
    56 pages -  14.50€ / album
    Collection Explora
    (Glénat BD)